La législation impose à l'employeur de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale de ses salariés. On parle ainsi d’une « obligation de sécurité et de santé au travail ». En cas de manquement, l'employeur verra sa responsabilité civile et/ou pénale engagée.
Outre l’obligation légale, la maitrise des risques est un véritable levier de valorisation de performance, de qualité de vie au travail, de réputation ou encore de satisfaction du client, ce qui en fait un enjeu majeur pour les entreprises.

Les accidents de travail et les maladies professionnelles induisent un coût important pour les entreprises : pertes, retards ou arrêts de production, turnover et remplacement du salarié accidenté, frais administratifs, poursuites judiciaires éventuelles, altération du climat social, perte de clientèle, image de marque…
Investir dans la prévention serait donc rentable à tout point de vue. Plusieurs études démontrent qu’1€ investi dans des mesures de prévention peut faire économiser jusqu’à 4,81€ à l’entreprise. De même qu’un salarié évoluant dans un environnement sain et sécurisé serait 31% plus productif que ses homologues, 55% plus créatifs et 25% moins absents et malades. Le bien-être des collaborateurs est donc un contrat gagnant-gagnant, mais comment s’y prendre ?
Les mesures qui doivent être prises s’organisent autour de trois axes : Des actions de prévention des risques professionnelles, des actions d’information et de formation et la mise en place d’une organisation et de moyens adaptés. Elles doivent être mises en œuvre sur le fondement des 9 principes généraux de prévention :
L’employeur formalisera ensuite l’évaluation des risques dans le Document Unique d’Evaluation des Risques (DUERP), obligatoire dès l’embauche du 1er salarié et mis à jour régulièrement. Ainsi, il n’incombe pas à l’employeur de garantir l’absence de toute exposition des salariés à des risques mais de les éviter au mieux et, s’ils ne peuvent être évités, de les évaluer régulièrement pour prendre ensuite toutes les mesures utiles pour protéger les travailleurs exposés.

Le diabète est l’une des maladies chroniques les plus courantes. Elle concerne 1 personne sur 8 dans le monde.
En France en 2023, 4.3 millions de personnes étaient traitées pour cette maladie, soit 6.3 % de la population. Les chiffres ne cessent de progresser et 400 nouveaux cas sont diagnostiqués par jour dans notre pays.
En plus des problèmes de régulation de la glycémie, le diabète nécessite une grande surveillance de la santé des yeux et des pieds.
C’est par ailleurs un facteur aggravant de comorbidité, donc de contracter d’autres maladies, comme les maladies cardio-vasculaires.

Avec un tiers des adultes touchés par l’hypertension, cette maladie, qui se classe au 1er rang des maladies chroniques, est un véritable fléau.
Elle correspond à une pression trop élevée dans nos artères. À partir de 14, c’est déjà le signe d’une tension un peu élevée qu’il faut surveiller de près. Au-delà de 16, on parle d’hypertension.
Cette maladie silencieuse s’installe progressivement sans symptômes apparents.

Entre les longues soirées d’été et les petits plaisirs, les vacances nous ont invités à lâcher prise.
Pour une rentrée du bon pied, il est temps de reprendre une bonne hygiène de vie.
Vous avez besoin d’un peu d’aide pour une reprise à la fois sereine et pleine de vitalité ? Voici quelques pistes…


