Moqueries, remarques désobligeantes, attitudes abaissantes… Le harcèlement est un phénomène de persécution assez fréquent et pourtant pas toujours bien palpable par la victime et son entourage.
Il est souvent très mal vécu et peut conduire à une faible estime de soi, de la déprime, voire une dépression, et amener certaines victimes jusqu’au suicide, tant la situation devient insupportable.
Ces situations sont donc à ne jamais prendre à la légère et doivent être exprimées au grand jour afin de les faire cesser et d’éviter l’irréparable.
Le harcèlement est le fruit d’une situation de dominant/dominé, qui peut naître en milieu scolaire, en milieu professionnel, familial ou même dans la rue.
Il s’agit d’une manœuvre de domination et d’intimidation dans laquelle le ou les dominant(s) exerce(ent) une pression régulière d’agression physique, verbale ou psychologique à l’encontre du dominé, le contraignant parfois à faire ce qu’il ne souhaite pas et à subir cette situation sans oser s’opposer de peur de représailles.
Cette situation, qui peut être banalisée, est malheureusement plus fréquente qu’on l’imagine. Elle peut hélas concerner chacun de nous ou de nos proches. Il convient donc d’être vigilant et toujours bienveillant dans nos relations aux autres.
Il s’agit plus fréquemment de personnes ayant, par avance, une tendance à être effacées, en recul par rapport aux autres. Elles suivent le mouvement collectif, prennent peu d’initiatives et ont du mal à imposer leur point de vue.
Elles ont par ailleurs une faible estime d’elles-mêmes et sont bien souvent psychologiquement assez fragiles. Le harcèlement naît aussi parfois dans l’enfance et fragilise les personnes à l’âge adulte qui n’ont eu comme référence que ce système éducatif.
C’est souvent quelqu’un (une) qui a un fort pouvoir de conviction et en impose. Il n’aime pas qu’on lui tienne tête et a un caractère assez affirmé. Il arrive parfois qu’un effet de groupe rende le ou les harceleurs encore plus sûrs d’eux, leur donnant ainsi un sentiment de toute puissance.
Plusieurs signes peuvent laisser à penser que quelque chose ne va pas :
Il peut s’agir de situations sournoises lorsque le harceleur n’a pas toujours cette attitude et peut montrer un visage tantôt agréable, tantôt pervers.
Il en résulte, dans l’esprit de la victime, un sentiment de culpabilité et de grande vulnérabilité vis-à-vis de son agresseur.
« C’est de ma faute », « je ne fais pas assez bien », « je suis nul(le) », « si j’en parle, personne ne me croira » … Voici ce que pensent les victimes…
Même si la raison les ramène à une réalité plus objective par moments, ces pensées autodestructrices reviennent inlassablement, rendant plus difficile la possibilité d’envisager de sortir du cercle vicieux.
Les victimes peuvent éprouver de très grandes souffrances psychologiques.
Le dialogue est bien sûr délicat mais nécessaire. Il n’est cependant pas toujours aisé de trouver les bons mots.
Il est important de faire comprendre à la personne harcelée :
Avec un tiers des adultes touchés par l’hypertension, cette maladie, qui se classe au 1er rang des maladies chroniques, est un véritable fléau.
Elle correspond à une pression trop élevée dans nos artères. À partir de 14, c’est déjà le signe d’une tension un peu élevée qu’il faut surveiller de près. Au-delà de 16, on parle d’hypertension.
Cette maladie silencieuse s’installe progressivement sans symptômes apparents.
Entre les longues soirées d’été et les petits plaisirs, les vacances nous ont invités à lâcher prise.
Pour une rentrée du bon pied, il est temps de reprendre une bonne hygiène de vie.
Vous avez besoin d’un peu d’aide pour une reprise à la fois sereine et pleine de vitalité ? Voici quelques pistes…
Nous consacrons près d’1/3 de notre vie à dormir… et ce n’est pas du temps perdu !
Même sans bouger ou presque, notre organisme est très actif pendant notre sommeil.
Selon notre âge et le fait d’être petit ou gros dormeur, notre temps de sommeil se compose de 3 à 6 cycles d’1 à 2 heures, au cours desquels notre corps récupère de la fatigue accumulée dans la journée, se répare (cicatrisation de la peau, des muscles, des tendons), classe et mémorise de nouveaux apprentissages, digère, régule son appétit.